De l'Allemagne, 1800-1939. De Friedrich à Beckmann (24/05/2013)
La première séance nous avons dessiné sur le thème des contrastes.
Contraste de lignes et de matières autour de l'oeuvre de Kieffer
Contraste Clair 0bscur avec les montagnes
Contraste Clair Obscur dans l'architecture
Contraste Clair Obscur dans les gravures
Ludwig Ferdinand Schnorr von Carolsfeld (1833), Le Saut du rocher,
Déambulation dans l'exposition
Différentes perceptions du personnage
Prendre un élément dans plusieurs oeuvres et faire le lien dans son dessin.
Les obliques, les paires, les pierres
A partir des gravures, Du vivant à la mort.
Paysages à partir de différents éléments.
Le thème de la chute, du feu du personnage ...
La place de l'homme, qu'est-il face à la nature ?
Les fleurs de Goethe et de Klee
Position de l'homme, écriture de nature.
Texte tiré du site du Louvre.
Riche de plus de deux cents oeuvres, l’exposition propose une réflexion autour des grands thèmes structurant la pensée allemande de 1800 à 1939. Elle replace la production artistique et les artistes, de Caspar David Friedrich à Paul Klee, de Philipp Otto Runge à Otto Dix, dans le contexte intellectuel de leur création et les confronte aux écrits des grands penseurs, au premier rang desquels figure Goethe.
De la fin du XVIIIe siècle à la veille de la Seconde Guerre mondiale, l’histoire allemande est marquée par la constitution difficile de son unité politique dans le cadre de l’Europe des nations qui se met alors en place. Multiconfessionnelle, marquée par une discontinuité géographique, par un flottement dans ses frontières, par des contextes politiques et culturels très différents, voire antagonistes, l’Allemagne doit faire émerger l’unité sousjacente à l’ensemble des Allemands, de la Bavière à la Baltique, de la Rhénanie à la Prusse.
La notion de Kultur, concept hérité de la philosophie des Lumières, est apparue comme la plus susceptible de constituer le terreau sur lequel inventer une tradition allemande moderne. Si l’occupation napoléonienne a pu favoriser la prise de conscience de cette unité, fournissant l’arrière-plan politique aux premières expérimentations romantiques, la montée du nazisme, à l’autre bout du parcours chronologique, a mis en évidence la dimension tragique de ce concept, sans pour autant réussir à l’anéantir. L’exposition analyse la façon dont les beaux-arts, du romantisme à la Nouvelle Objectivité, ont pu participer à ce mouvement d’une grande liberté de composition et d’invention, toujours avide de réinventer une tradition allemande.
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