Exposition François 1er et les artistes des Pays Bas (30/11/2017)

louvre-jean-clouet-portrait-equestre-de-francois-ier-musee-du-louvre.jpg

 

L'exposition nous a offerts de bonnes surprises. personnellement j'aime beaucoup la peinture flamande, les séries de portraits nous présentes une grande diversité. Il y a également quelques vitaux, tapisseries et sculptures.

Je propose comme première piste de travail de simplement montrer les pièces qui nous ont touchées.

Seconde séance, choisir une couleur et voir comment celle-ci circule dans la toile. Cela permet d'être attentif à la composition. comment la couleur circule dans le tableau, quelle dynamique est créer par la couleur. La couleur est-elle dispersée dans la toile, concentrée en une seule partie du tableau. 

Troisième séance choisir un détail et voir comment chaque artiste a travaillé. Plus contrasté, plus doux, plus linéaire, plus en aplat, avec des nuances, avec des contrastes forts, ...

La dernière séance est sur le thème du contraste puissant et doux. Je pensais à la valeur du trait et des aplats, il y a également l'expression du visage doux ou puissant

Dans l'album photo j'ai choisi de regrouper certains dessins autour de la reproduction de l’œuvre choisi du coup il est possible de voir plusieurs exercices sur le même tableau.

Voir les photos de l'album

Texte tiré du site :www.louvre.fr

Si le goût de François Ier pour l’art italien est bien connu et son mécénat essentiellement identifié à la création du foyer italianisant de Fontainebleau, son règne ne s’inscrit pas moins dans une tradition très vivace d’implantation en France d’artistes originaires des Pays- Bas.

Les plus connus d’entre ces artistes du Nord actifs en France sous son règne, Jean Clouet et Corneille de La Haye dit Corneille de Lyon se spécialisèrent dans le  portrait. Mais tant à Paris que dans les foyers normands, picards, champenois et bourguignons, s’est largement épanouie, dans l’art du manuscrit enluminé et dans la peinture religieuse principalement, une vague d’influences septentrionales – anversoises, bruxelloises, leydoises, haarlémoises – que les recherches  récentes ont peu à peu révélées en ressuscitant des artistes injustement tombés dans l’oubli. Godefroy le Batave, Noël Bellemare, Grégoire Guérard, Bartholomeus Pons, et d’autres encore anonymes et non moins talentueux, qui se sont illustrés dans des techniques aussi diverses que l’enluminure, la peinture, le vitrail, la tapisserie, la sculpture. Le roi acheta par ailleurs abondamment des tapisseries, des pièces d’orfèvrerie et des tableaux flamands.

L’exposition fait ainsi ressurgir tout un pan méconnu de la Renaissance française et se propose d’en explorer la variété, les extravagances et la monumentalité.

Commissaire : Cécile Scailliérez, département des Peintures, musée du Louvre.

| Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |