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La semaine dernière, Do à dessiner ce dinosaure ressentant la danse dans son mouvement. Elle a choisi de le reprendre en s'installant non pas au dernier étage, mais à celui d'en dessous. Point de vue très différent. L'éclairage du premier masque le pied du squelette, ce qui en accentue la sensation de mouvement. Nous avons une grande oblique d'un pied à la tête, une autre du bout des doigts à l'épaule puis des espaces très différents. Le dessin qui lui correspond dessine la patte en entier, le mouvement est moins présent. Le second semble arrêté dans sa marche. Le dernier avec la tête en avant paraît vouloir aller plus vite que son ombre.

Muriel a choisi de travailler plusieurs dinosaures. C'est la mise en page qui crée le dynamisme du dessin. Les vertèbres créant un rythme dans la page.

Dans cette série de squelettes de grenouille Nous avons un rythme créé par la série avec des objets, des espaces plus ou moins réguliers. Il y a la taille de l'animal. Il y a le rythme des obliques des membres et les verticales de la colonne vertébrale. ...

J'ai choisi de dessiner le rythme des lignes posées sur le moulage de cétacé, grande horizontale noire portant des lignes osseuses blanches. Pour le second dessin, j'ai dessiné un rythme en jaune et à ce moment-là une personne en pull jaune c'est assis. Du coup, j'ai regardé le rythme créé par les vêtements des personnes s'installant sur le banc. Après coup, j'ai vu que Ma avait remarqué la même chose.

Ce jeu a été repris par CL au musée Bourdelle. Le contraste d’écriture entre le trait fin pour la sculpture et l'aplat pour les personnages amplifie la force du mouvement de l'archer. La statique des personnages est installée par l'aplat.

Toutes les photos dans l'album Paléontologie