Louvre la sculpture grecque
Nous avons dessiner dans les salles d'art des Cyclades ainsi que dans la salle des petits bronzes grecs.
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Nous avons dessiner dans les salles d'art des Cyclades ainsi que dans la salle des petits bronzes grecs.
Ce mercredi au Louvre, nous sommes allés dans l'exposition "Les musées sont des mondes".
Une fois de plus nous constatons que dessiner nous permet de poser un regard plus en profondeur sur les oeuvres qui nous sont proposée. Nous avons chacun choisi un axe différent, en partageant nos dessins à la fin de la séance notre vision de l'exposition a été enrichi du regard des autres.
Maud "la représentation du l'homme"
Muriel a commencé avec la représentation de la femme pour terminer par un démon......
Hélène a commencé avec une vidéo sur le thème du rite initiatique en cherchant à traduire l'espace
Pour continuer sur le thème de la représentation de la tête
Françoise a dessiner autour du thème des dents, puis de la représentation du corps humain
Marie-Annick fascinée par la sculpture-instalation autour du pneu a démaré par un mélange d'oeuvres, pour continuer avec un modèle réduit de voiture, et changeant complétement de thème petits croquis sur le thème des cornes.
Texte provenant du site du Musée du Louvre
Renouant avec la notion de cabinet de curiosités et répondant à la thématique « Les musées sont des mondes » souhaitée par J.M.G. Le Clézio, cette exposition présente des œuvres anciennes et contemporaines provenant d’Haïti, du Mexique, d’Afrique ou de Vanuatu.
De même que pour André Malraux, pour J.M.G. Le Clézio, il n’y a pas de « hiérarchie en art ». Ainsi, l’exposition renoue avec la notion de cabinet de curiosités et réunit pêle-mêle un ensemble d’oeuvres aussi diverses que des peintures historiques, des gravures révolutionnaires, des peintures haïtiennes, des nattes du Vanuatu, des objets vaudou, des ex-voto mexicains, des objets ethnographiques de différentes civilisations et des oeuvres contemporaines, transcendant les frontières temporelles ou géographiques pour mélanger, selon un même point de vue, art populaire et art majeur.
Ce « pas de côté » que J.M.G. Le Clézio propose par rapport au périmètre patrimonial du musée du Louvre se justifie par sa cartographie littéraire, par ses engagements et sa sensibilité personnelle. Un tel écart n’est cependant pas incohérent en regard de l’histoire originelle du musée du Louvre, et la présence de ces oeuvres n’apparaît ni insolite ni anecdotique si l’on se souvient que le Louvre abrita le musée de la Marine, composé entre autres du premier musée ethnographique et de celui des Amériques, dont les collections constituent désormais le musée du Quai Branly et le musée de l’Homme.
En lien direct avec l’univers littéraire développé par J.M.G. Le Clézio, l’exposition privilégie quatre zones : Afrique, Mexique, Vanuatu et Haïti. Des ponts formels, historiques ou esthétiques seront mis au jour afin que ces territoires puissent être de véritables « zones de contact ».
Commissaire(s) :Marie-Laure Bernadac, conservateur général, chargée de mission pour l’art contemporain au Louvre, assistée de Pauline Guelaud.