Une exposition

Ce mercredi je suis allée voir l'exposition de Jean-José Ferreira-Lopes, galerie Martine Namy Caulier.

Une quarantaine d’œuvres récentesqui regroupent essentiellement des recherches intimistes issue de détournement de diverses sortes de papiers réuni par la magie du collage et quelques gravures rehaussées.

 

Exposition pleine de poésie, de légéreté, et de gravité.

Je vais vous parler des collages qui m'ont particulièrement touchés.

J-J-Ferreira-Lopes travaille avec des papiers de toutes provenances, donc papiers tous différents. Il les colore, les décolore, les découpe, les déchire, les colle, les suprime et ainsi travaille avec la trace.

Comment dire quelques chose avec l'infiniment petit le presque rien. Comment dire du silence ?

Il y a du rève, bien réel. Chaque élément dégage une présence forte de cette certitude: " je suis bien là et vous ne pouvez me réduire à rien".

Contradiction entre présence forte et silence leger.

Voilà mon ressenti face à cette exposition.

J'ai eu la chance de rencontrer l'artiste avec qui j'ai échangé sur la force des matériaux, paroles différentes entre collages, tempéra et peinture à l'huile. La nécessité de choisir un matériaux adapter à notre parole, à ce que nous voulons dire du monde qui nous entoure.

 

Je connais Martine Namy-Caulier depuis peu, j'aime beaucoup ce qu'elle propose dans sa galerie, où sont exposés non seulement des estampes, mais aussi des peintures, gravures et sculptures. Au total, plus de 40 artistes collaborent avec elle. Et depuis près de 25 ans pour certains d’entre eux. « On ne peut pas travailler seulement un an sur une œuvre et avec un artiste ; il est à mon sens essentiel d’engager un travail de fond et de faire équipe avec l’artiste pour avoir un panorama de toute son œuvre ».Curieuse et sensible au Beau, Martine Namy-Caulier attache une grande importance au partage et à la transmission d’une découverte, d’un travail, d’une œuvre.

Adresse de la galerie  

34 Rue des Saints-Pères 75007 Paris France 

Horaires du mardi au samedi de 11h à 19h

 Itinéraire

Transport :Métro Saint-Germain-des-Prés(319 m)Métro Mabillon(578 m)Métro Rue du Bac(581 m)

 

 

Louvre, salles des arts premiers.

Durant les prochaines semaines nous allons travailler sur la représentation du corps humain.

Dans de nombreuses pièces, il y a une présence du corps humain, comment la ressentons-nous ?
Est-ce la représentation d'une fonction "allaitement", protection de la maison, ....; d'une déité, 
Dans quelle mesure l'artiste utilise le corps humain pour exprimer un concept, un sentiment, la chair, .....
Comment ressentons nous la représentation du corps ?
Dans quelle mesure cette représentation du corps enlève-t-elle de l'humanité et le transforme en symbole ?
Les Grecs ont choisi de sculpter le corps dans des proportions dites divines afin de montrer un corps idéal.
Le corps devenu sacré, reste-il humain ?
Qu'est ce qui est nécessaire pour représenter l'humain ?
Quant à moi, je vois un corps comme humain, quand une expression, un sentiment, l'apparence du mouvement, est là. Voir un individu, et non un archétype.

Voici le travail de cette semaine.

Pour Muriel les pièces "humaines", et les pièces "symboliques".

 

 

 

 

 

 

 

Pour Maud, le corps cuillière, le corps boite, le corps tronc

 

 

 

 

 

 

 

Pour Hélène il y a dans une pièce de l'humain et de l'archétype, aussi à t-elle choisi d'utiliser des écritures différentes pour rendre cela.

Puis en dernière minute une pièce qui de dos à un coté humain, et de profil est anthropomorphe.

 

 

 

 

 

 

Françoise a travaillé sur les contrastes pour traduire le coté humain des sculptures.

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour continuer la réflexion voici quelques photos des pièces présente au Louvre 

Je reconnais la présence d'un femme allaitant, et en même temps je ne ressens pas la présence d'une mère, ni d'un individu.

 

 

 

 

 

 

Ce panneau nous donne à voir 3 visages, avec la sensation d'une personne debout.

Il y a une grande simplification est-ce un panneau décoratif, un panneau symbolique ........

 

 

 

 

 Ce sont deux piliers d'esprits tutélaires. Sculptures anthropomorphes, ce sont des protections face au mauvais esprits

 

De retour au Muséum

Nous continuons nos crpquis dans la salle d'anatomie comparée et paléontologie.

Notre thème est toujours "le net flou"

Pour le thème du net flou, les éléments de la vitrine devraient être moins précis. Vitrine et squelette ont la même importance.

 

 

 

 

 Différence entre "net / flou" et contraste clair obscur

 

 

 

 

 

 

La couleur et intéressante ainsi que la composition, l'idée du sujet et mise en place, j'aimerai que le choix entre les squelettes et leur environnement soit plus précis. précision dans le squelette, force dans la couleur, comment aller plus loin.

 

 

 

 

 

Voici le squelette du Ptéranodon, moulage arrivé en 2011 au muséum.

Désir de dessiner le premier plan en transparence avec le moins de densité possible.  La précision de la courbe de la rembarde lui donne trop de présence. A voir la semaine prochaine.

 

Je perservère dans la recherche du net flou. Il y a eu un progrès annuler par la présence du marron foncé dans la v-bas de la feuille.

La suite à venir

Modèle vivant poses longues. suite

Lorsque le modèle a un empêchement je pose pour que les élèves puissent peindre.

Voici le résultat, avec de nombreuses différences pour les ambiances colorés, pour les matières, et les compositions.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La même pose avec le modèle (ou presque)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une pose proche de la précédente avec un autre modèle.

Nous passons d'un modèle à peau foncé avec une modèle à peau très claire.

Est-ce que cela change le travail ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voilà la suite, avec deux poses différentes

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans les salles d'art Afrique - Amérique - Océanie.

Première séance dans ces salles, petites déceptions la nouvelle instalation présente de nombreuses pièces sous vitirine. Dans ce cas les pièces semblent enfermées dans leur cage, et les salles perdent de leur superbe.

Nous avons travaillé sur le thème du contraste noir/blanc ou sur la nuance.

Hélène a dessiner à partir de cette oeuvre, qui est particulièrement difficile à rendre, et par la suite c'est promener pour trouver les oeuvres qui lui permettront de terminer son dessin.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le net flou au Muséum

Nous continuons nos recherches sur le "net - flou" dans la galerie d'anatomie comparée.