Une brève histoire de l'avenir
J'ai vécu cette exposition comme une déambulation poétique inspirée par le foisonnement de pièces présentées, leur diversité de provenances géographiques comme diversité de temps. N’ayant pas lu le livre de Monsieur Attali, ni d’autres analyses complémentaires, je ne me risquerai pas à juger la teneur du discours qui est tenu ici. Je vous propose dans cet article les dessins réaliser lors des séances de dessin du mois de novembre par le groupe du mercredi.
Les commissaires de l'exposition ont choisi de faire dialoguer des pièces insignes du passé avec des créations contemporaines afin d'éveiller les consciences et ouvrir un débat. Se voulant véritable projet politique, elle se pose en « vigile de l’avenir » pour reprendre les termes de Jacques Attali.
On se demande même si cette exposition n’aurait, en fait, pas mieux sa place au Musée de l'homme.
En premier lieu quelques photos.
Cliquer sur les images pour les voir agrandies dans une nouvelles fenêtre.
Nous avons travaillé deux thèmes.
Tous dans la même salle.
Les pièces du muséum, sculptures de cire présentant la flore, ainsi que quelques planches de botanique, avec en arrière fond un papier mural de la manufacture Zuber.
Comment traduire la diversité des pièces présentées.
Sculptures, dessins, peintures, objets ethnographiques, manuscrits grave, cartes géographiques anciennes, installations d'artistes contemporains, films, objets venant de plusieurs pays....
Par accumulation de dessins, par juxtaposition,
Un des tableaux, de la monnaie, la corde à proverbe
Juste rendre la force de ce poing.
Articles critiques sur l'exposition :
http://www.latribunedelart.com/
Texte tiré du site du Louvre.
Événement majeur de la programmation du Louvre en 2015, cette exposition est inspirée du livre de Jacques Attali Une brève histoire de l’avenir, paru en 2006. Pluridisciplinaire, elle fait dialoguer des oeuvres insignes du passé avec des créations contemporaines spécifiques afin de retracer au présent un récit du passé susceptible d’éclairer notre regard sur l’avenir.
Le parcours se déroule autour de quatre thématiques dont la scénographie fera l’objet de commandes spécifiques à des artistes contemporains : l’ordonnancement du monde, les grands empires, l’élargissement du monde et le monde contemporain polycentrique. Mark Manders, Tomás Saraceno, Wael Shawky, Camille Henrot, Isabelle Cornaro, Chéri Samba, Ai Wei Wei ont ainsi répondu à l’invitation du Louvre.
À travers ces oeuvres sont mises en valeur la succession de moments historiques d’expansion et de repli, la construction d’échanges entre individus ou communautés, et la création de divers moyens de communication pour rendre possibles ces échanges. Une place particulière sera donnée à la médiation des oeuvres et à leur mise en perspective, notamment grâce à la création d’un lieu de débats au sein de la dernière salle.
Commissaire(s) :
Dominique de Font-Réaulx, musée du Louvre, Jean de Loisy, président du Palais de Tokyo, avec la collaboration de Sandra Adam-Couralet, critique d’art, et de Martin Kiefer, musée du Louvre.