Expositions des élèves de l'atelier
Voici quelques photos des expositions
Travail des adultes
Travail des enfants
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Voici quelques photos des expositions
Travail des adultes
Travail des enfants
Nous avons dessiné dans l'exposition de Léonard da Vinci. Nous avions déjà vue cette exposition, même plusieurs fois pour certains, car cette exposition est magnifique. En dessinant nous restons longtemps devant l'oeuvre, et ainsi nous voyageons pas à pas dans le tableau.
Le thème du jour, la relation, la séparation, comment sont-elle rendues dans les tableaux et dessins qui nous sont proposés dans cette exposition.
Voilà le voyage de Muriel. Passant d'un tableau à l'autre, elle nous donne des versions différentes, relation par la composition; par les détails mains, visages; par le regard, par la couleur.
Maud a ressenti ce tableau comme une sculpture, nous avons donc une vision sous plusieurs angles. Puis devant la vierge au rocher, où les couleurs foncées ont envahies le tableau. Certains détails, ressortent, Maud les imagine comme un mobile à la Calder.
Par la suite, elle a choisi de faire un interprétation
Je suis restée devant le tableau de Léonard toute la séance, plus j'avançais dans mon travail plus je découvrais le travail de Léonard da Vinci. Je suis admirative devant son sens de la composition.
J'ai beaucoup aimé la complexité de cet enchevêtrement de jambe, bras et pattes.
Monique voulait travailler sur le dessin d'arbre de Léonard da Vinci
Texte du Louvre
Chef-d’œuvre de Léonard de Vinci restauré avec le concours du Centre de recherche et de restauration des musées de France, la Vierge à l’Enfant avec sainte Anne est au cœur d’une exposition exceptionnelle rassemblant pour la première fois l’ensemble des documents liés à ce panneau.
Le début de la lente et complexe genèse du tableau remonterait à 1501, date de sa première mention dans la correspondance d’Isabelle d’Este. Léonard de Vinci ne cessa ensuite de perfectionner cette composition ambitieuse, qu’il laissa inachevée à sa mort en 1519.
Esquisses de composition, dessins préparatoires, études de paysage et le magnifique carton de la National Gallery de Londres – jamais présenté à côté du tableau depuis la mort de Léonard – illustrent, entre autres, cette longue méditation et rendent compte des différentes solutions successivement envisagées par le maître.
La présentation d’autres œuvres peintes de Léonard de Vinci permet par ailleurs de montrer en quoi la Sainte Anne est le véritable aboutissement des multiples et diverses recherches de l’artiste sur la nature et l’art.
Afin de donner toute sa dimension au caractère novateur de cette œuvre, l’exposition s’attache également à la replacer dans la tradition iconographique liée à son sujet (la Vierge à l’Enfant avec sainte Anne) et s’intéresse à l’influence considérable qu’elle exerça sur l’art italien du début du XVIe siècle.
Les hommages plus récents que lui ont rendus Delacroix, Degas ou Max Ernst témoignent enfin de l’influence durable de ce chef-d’œuvre.
Ce mercredi nous avions rendez-vous dans la salle de La Chapelle au louvre, où est présentée l'exposition "les belles heures du Duc de Berry". Nous avons pu contempler 47 feuillets où écritures et enluminures se succèdent.
nous n'étions que deux pour ce rendez-vous. Le temps de contemplation fut long, aussi un seul dessin. Je l'ai réalisé, en sortant de la salle d'exposition régulièrement car mes yeux me brulait faute d'un éclairage suffisant. Le faible éclairage est justifié car il ne faut pas détériorer les documents.
Je me suis inspirée des fonds des enluminures pour dessiner les visiteurs sortant de l'exposition.
Article d'André Baldo
Manuscrit des plus remarquables de Jean de France, frère du roi CharlesV et duc de Berry, les Belles Heures,connues sous l’appellation les BellesHeures du duc de Berry sont au cœur d’une exposition qui en présentera 47 feuillets, ou plutôt bi-folios.
Frères de Limbourg. Saint Louis devant Damiette,Belles Heures du duc de Berry. © New York, The Metropolitan museum of Art, The Cloisters Collection, 1954 (54.1.1), fol. 173.
L’événement est d’autant plus empreint de solennité, de respect, voire de recueillement, que, d’une part le livre appartient aux Cloisters, qui est le département médiéval du Metropolitan Museum of Art de New York, et que d’autre part ce sera l’occasion ultime de les admirer avant que les feuillets ne soient remontés dans leur reliure, échappant pour la plupart aux regards des simples mortels dont nous sommes. Monter cette exposition a pris 5 belles années.
Annonce aux bergers (Tierce), Belles Heures du duc de Berry (détail) © New York, The Metropolitan museum of Art, The Cloisters Collection, 1954 (54.1.1), fol. 52v.
Mais qu’est-ce qu’un livre d’heures ? C’est un recueil de textes de dévotion et d’offices à l’usage des laïcs, et l’ouvrage de piété le plus répandu et prisé de la fin du Moyen-âge. Leurs fonctions étaient susceptibles de devenir multiples : élever les âmes, soutenir lesesprits faibles, éduquer le peuple dans la crainte de dieu, permettre même l’apprentissage à la lecture aux femmes et aux enfants. Ils étaient souvent enrichis d’illustrations en rapport avec les différentes parties du texte, et la qualité de ce décor illustratif variait passablement puisqu’elle était fonction du rang social et des ressources de celui qui en avait passé commande.
Le livre des Belles Heures du duc de Berry dont des feuillets sont exposés jusqu’au 25 juin au Louvre est un livre d’heures clé et exceptionnel. Il fut enluminé, au tout début du XVe siècle, par les frères de Limbourg qui allièrent beauté des cycles peints, inventions dansles compositions et innovation dans la conception de l’espace comme dans la narration.
Comme les plus grands bibliophiles de son temps, Jean de Berry faisait preuve de goût pour ce type de manuscrits, et l’on nous dit aujourd’hui qu’il laissa à ces artistes pour lesquels il avait respect et amitié une liberté, inédite pour l’époque. Son nom est donc tout naturellement associé à une prestigieuse série de livres d’heures qu’il fit exécuter pour son usage entre le dernier quart du XIVe siècle, et sa mort, en 1416. Ceux qui sont parvenus jusqu’à nous comptent parmi les chefs-d’œuvre de l’enluminure française, voire européenne, du Moyen-âge finissant, mais plus que cela encore, ils peuvent être, à juste titre, considérés comme un des principaux creusets de l’art figuratif occidental, et un monument de la peinture française.
Réalisé entre 1405 et 1408-1409, le livre des Belles Heures est la seule commande du duc qui fut entièrement exécutée par les frères de Limbourg, contrairement aux fameuses Très Riches Heures. Selon les très rares spécialistes qui ont eu la chance de contempler et de consulter ces feuillets dans leur ensemble et continuité, ce qui n’est pas notre cas à nous,simples visiteurs, la marque du talent des frères de Limbourg est que ces feuillets se singularisent, disent-ils, et nous voulons bien les croire, par la cohérence de leurs enluminures, qui formeraient de vrais cycles narratifs.
Ces cycles peuvent être dédiés à des moments forts des Écritures, comme la Passion par exemple, mais ils illustrent également des textes qui ne se trouvent pas habituellement dans les livres d’heures à l’usage de Paris : vies de saints (embarras du choix, leur nombre était alors bien supérieur au nombre de jours dans l’année), Catherine, Paul (illustration), Bruno, Jérôme, comme même cycle dédié à la Grande Litanie.
Frères de Limbourg. La conversion à Rome de saint Paul, BellesHeures du duc de Berry (détail - Enluminure, 1410-16) Détrempe et feuille d’or sur parchemin - 239 x 168 mm © New York, The Metropolitan museum of Art, The Cloisters Collection, 1954. La conversion de Paul se passe ici à Rome, quand il assiste à cette scène atroce : un homme voulant résister aux propositions de luxure d’une femme légère, préfère se trancher la langue et la jeter au loin...
Ce mercredi je suis allée voir l'exposition de Jean-José Ferreira-Lopes, galerie Martine Namy Caulier.
Une quarantaine d’œuvres récentesqui regroupent essentiellement des recherches intimistes issue de détournement de diverses sortes de papiers réuni par la magie du collage et quelques gravures rehaussées.
Exposition pleine de poésie, de légéreté, et de gravité.
Je vais vous parler des collages qui m'ont particulièrement touchés.
J-J-Ferreira-Lopes travaille avec des papiers de toutes provenances, donc papiers tous différents. Il les colore, les décolore, les découpe, les déchire, les colle, les suprime et ainsi travaille avec la trace.
Comment dire quelques chose avec l'infiniment petit le presque rien. Comment dire du silence ?
Il y a du rève, bien réel. Chaque élément dégage une présence forte de cette certitude: " je suis bien là et vous ne pouvez me réduire à rien".
Contradiction entre présence forte et silence leger.
Voilà mon ressenti face à cette exposition.
J'ai eu la chance de rencontrer l'artiste avec qui j'ai échangé sur la force des matériaux, paroles différentes entre collages, tempéra et peinture à l'huile. La nécessité de choisir un matériaux adapter à notre parole, à ce que nous voulons dire du monde qui nous entoure.
Je connais Martine Namy-Caulier depuis peu, j'aime beaucoup ce qu'elle propose dans sa galerie, où sont exposés non seulement des estampes, mais aussi des peintures, gravures et sculptures. Au total, plus de 40 artistes collaborent avec elle. Et depuis près de 25 ans pour certains d’entre eux. « On ne peut pas travailler seulement un an sur une œuvre et avec un artiste ; il est à mon sens essentiel d’engager un travail de fond et de faire équipe avec l’artiste pour avoir un panorama de toute son œuvre ».Curieuse et sensible au Beau, Martine Namy-Caulier attache une grande importance au partage et à la transmission d’une découverte, d’un travail, d’une œuvre.
Adresse de la galerie
34 Rue des Saints-Pères 75007 Paris FranceItinéraire
nous avions rendez-vous dans la salle d'exposition de la peinture américaine avec des tableaux de Thomas Cole.
Et finalement Françoise et moi même avons pris le temps de regarder une exposition de gravure contemporaine de la collection de chalcographie du Louvre.
Cette exposition présente quelques récentes acquisitions de la chalcographie du musée du Louvre, commandes passées à des artistes contemporains entre 2006 et 2010 : Dove Allouche, Tony Cragg, Richard Deacon, Peter Doig, Mireille Gros, Jenny Holzer, François Morellet, Giuseppe Penone et Kiki Smith.
Dès 1797, année de sa création, la chalcographie du musée du Louvre souleva la question de la commande contemporaine. Destinée à produire, afin de la commercialiser, une « galerie gravée» des principaux chefs-d’œuvre du musée, la chalcographie du Museum passa alors commande de nouvelles planches auprès des principaux graveurs de son temps. Le financement de la commande publique de gravure étant extrêmement coûteux – et jugé fort peu rentable – on décida, dès l’Empire, de suspendre la politique de commande de nouveaux cuivres, mises à part les planches destinées à la propagande impériale.
La politique de commande publique ne revit sporadiquement le jour que durant les brèves années de la IIème République, pour disparaître peu ou prou des budgets du musée jusqu’en 1989, date de la reprise institutionnelle de la commande chalcographique. Les exigences avaient radicalement changé : nulle obligation désormais pour les artistes d’interpréter par le médium de la gravure des chefs-d’œuvre du musée – il s’agirait plutôt d’en augmenter le nombre au sein des collections graphiques du Louvre.
Depuis plus d’une vingtaine d’années, le musée du Louvre et la Réunion des musées nationaux confient à des artistes contemporains le soin de réaliser des planches gravées à l’intention de la chalcographie, qui en assure l’exclusivité du tirage, sans limitation du nombre d’épreuves.
Après la direction artistique de Rainer Michael Mason (de 1991 à 2003), anciennement conservateur du Cabinet des Estampes du musée d’Art et d’Histoire de Genève, cette mission a été confiée à Marie-Laure Bernadac, conservateur général, chargée de l’art contemporain. Ainsi, cette collection qui réunit aujourd’hui plus de 13000 planches de cuivres, est continuellement enrichie grâce à une politique d’acquisitions de pièces anciennes et de commandes contemporaines.
La collection des estampes contemporaines est disponible à la librairie rmn du musée du Louvre, sous pyramide.
Commissaire de l’exposition : Pascal Torres Guardiola
Texte pris sur le site du Louvre
http://www.louvre.fr/sites/default/files/medias/medias_fichiers/fichiers/pdf/louvre-communique-presse-chalcographie-louvre.pdf
Puis nous avos flaner dans la peinture américaine pour constater que le travail de couleur dans les paysage est vraiment différent de la peinture française de l'époque. (photos inutilisables, salle trop sombre)
Ce mercredi nous avons dessiner dans la salle de peinture scandinave ou nous est présenté un ensemble de gouache de Peter Balke.
Cet ensemble nous présente une étude documentaire de paysage du Danemark et de Noverge, avec une grande maitrise des matériaux et de la composition.
Ce fut un grand plaisir de pouvoir les découvrir plus en profondeur en dessinant.