Le stage de CHANTELLE

Dessiner, peindre la nature, immerger dans la nature, un plaisir.

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Une journée pour le dessin et la peinture.

Nous avons commencé par une étude de couleur dans la salle des fauves au MAM. Comment les couleurs sont réparties dans le tableau.

Trois personnages assis dans l'herbe de Derain

Étude des verts.

Étude des rouges

Bord de Marne de Dufy

Le peintre Xavier Roussel dans son atelier peint par Vuillard

Les berges de Chatou. Vlaminck.

Avec ce type de étude, on obtient des compositions abstraites très intéressantes.

L'après-midi travail à l'atelier sur le thème de la couleur, avec comme sujet une "installation" des tabourets.

Recherche des couleurs à partir de reproductions de maîtres.

 

Au muséum, l'exposition "De l'os au bois".

En partenariat École Boule et Muséum exposition De l'os au bois nous présente un travail autour le la sculpture animalière. Sur le site de l'école, vous pourrez voir des photos du travail en cours : http://www.ecole-boulle.org/articles/1922/de-los-au-bois    

L'exposition vous propose un ensemble de douze sculptures fondées sur l'observation méticuleuse de squelettes exposés en Galerie d'anatomie comparée. C'est l'occasion pour chaque élève de restituer les volumes entourant une structure osseuse. A l'aide de différents matériaux : argile, plâtre, bois, chaque réalisation s'appuie sur une approche morphologique cherchant à rendre simultanément visible les contours extérieurs et intérieurs de l'animal.

Cette exposition a pour but de souligner les grandes étapes de l'étude animalière d'un sculpteur sur bois : croquis, dessins d'études ostéologiques et myologiques, modelages, moulages, préparation des bois et taille, ébauches ou sculptures finies. Elle présente aussi la difficulté de récupérer des documents anatomiques justes (inexistants pour la plupart des espèces choisies). Il a donc fallu s'adapter, comparer, transposer.

Voici deux croquis réalisés à partir de deux des sculptures. Cétacé et éléphant.

  

Le Maroc médiéval

L'exposition du Louvre "le Maroc médiéval  nous à quelque peu déçues. Pourquoi une telle présence de pièces abimées, cassées, autant de photos ? Les quelques belles pièces présentes dans cette exposition sont noyées dans la masse. Le pourquoi de l'expo nous a paru complexe, d'autant que nous ne lisons pas la totalité des textes proposés, il faut choisir entre dessiner ou lire.

La piste de dessin proposé : petit / grand.

 Griffon, animal mythique, heurtoir en bronze...

     

Minbars et formes géométriques.

Les Minbars, sorte d'escabeau servant de chaire d'où le khatib (iman ou molhah) fait son sermon (khutba)  lors de la prière du vendredi dans une mosquée.

       

Portes et formes géométriques.

Lustre de la mosquée al-Qarawiyyin, de Fès, avec un tout petit encensoir.

Interprétations personnelles.

   

Texte tiré du site www.Louvre.fr

 

Du XIe au XVe siècle, une succession de dynasties – almoravide, almohade et mérinide – ont unifié un espace politique et civilisationnel centré sur le Maroc, et étendu jusqu’à l’Andalousie. Leurs conquêtes les ont menées du sud du désert du Sahara (frange nord de la Mauritanie) au nord de l’Algérie et de la Tunisie. L’influence de ces empires, unissant pour la première fois les confins de l’Occident islamique, a rayonné jusqu’en Orient. L’exposition (près de 300 oeuvres) permet d’appréhender cette longue et riche histoire, clef de compréhension du Maroc contemporain et source de sa modernité.

L’exposition incite à relire cette période d’apogée de l’Occident islamique, tant du point de vue historique qu’artistique. Elle présente ses plus belles réalisations dans les domaines du décor architectural, du textile, de l’ivoire ou de la calligraphie et replace cette puissante entité au centre des réseaux diplomatiques et commerciaux qui  furent les siens. « Le Maroc médiéval » invite à un voyage dans l’espace marocain et andalou, suivant un fil chronologique. Chacune des périodes historiques est ponctuée d’éclairages sur les lieux de pouvoir et capitales historiques, cités d’or et de lumière.

Commissaire(s) :

Yannick Lintz, directrice du département des Arts de l’Islam, musée du Louvre, et Bahija Simou, directrice des Archives royales, Rabat, Maroc.
Commissaires scientifiques : Claire Delery et Bulle Tuil-Leonetti, musée du Louvre.

Reprise dans la galerie paléontologie, anatomie comparée.

Voici un travail montrant une utilisation des blancs différentes.

Quand est-il des blancs des quatre coins.

Le sujet souvent omniprésent nous ait oublié le "papier non dessiné". Prendre en compte la totalité de son support avec les espaces travaillés comme les espaces vierges, voilà le travail de ce semestre.

Les blancs sont-ils vides ?

Les blancs intercalés entre les points les petits traits créent un rythme d'horizontales avec des temps plus rapprochés ou éloignés comme un souffle de vie, un mouvement d'eau.

    

     

En octobre à la ménagerie du jardin des plantes.

Pour cette année j'ai choisi de travailler la composition en cherchant à regarder les parties du papier "non dessiné". Quelle forme donner à cette partie de notre dessin, comment "le papier non travaillé" existe-il ?

 

Ce thème a permis de travailler le sujet de l'arbre de façon vraiment différente. avec des blancs qui ont vraiment une présence.

Le plaisir de l'observation des animaux a dominé, l'exercice est passé au second plan. La position de certains oiseaux la tête en bas est étonnante.

 

Dessins repris par la suite à la maison.

Les compositions sont intéressantes, peut-on aller plus loin ?