Au fil de l'eau la Seine.

En vacances à Paris

Prendre le temps, assis au soleil, au bord de l’eau,
prendre le temps au fil de l’eau sur le bateau.

Entendre la musique de l’eau, et même parfois le silence en pleine ville. Un bonheur.
Poser la couleur, le trait, la tache pour le plaisir.

A chaque demi journée nous avons pris le temps d’explorer un lieu différent. Ballades en Batobus, berges de la Seine avec l’ile au oiseaux, pont Alexandre III, quai des Tuileries,  ile au Cygnes vers le pont de Grenelle, le Vert galant, le port de l’arsenal, près de l’écluse entre la Seine et le canal St Martin. Pour finir nous sommes revenus vers l’ile aux oiseaux, dessinerons nous le lieu de la même façon après avoir exercé notre œil tout au long de la semaine ?

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En attendant que tous les participants arrivent nous avons vu comment chacun trouvera des sujets différents sur un même lieu. Nous sommes attirés vers un sujet ou un autre en fonction de nos goûts, de notre histoire, de nos formations.
Formes géométriques, répétitions, couleurs, esthétique, objets racontant une histoires, nature, mouvement de l’eau, personnages, ... tout est possibilité de sujet

Avant le départ pour l'ile aux oiseaux, formes géométriques à l’atelier.

Quelques pistes pour choisir nos sujets.

L’écriture, les couleurs, le contraste petite / grande surface,  le contraste clair / foncé, les couleurs, un même sujet de plus ou moins près, la ligne continue, le rythme des lignes, le rythme des surfaces, un panorama vaste alors que jusque là nous avons plutôt travailler sur un sujet de près...

Nous avons pris le temps de parler de peinture, comment utiliser ce qui nous entoure pour trouver rythme, valeur, forme pour notre travail. La suite des immeubles de Beaugrenelle devant l’ile aux cygnes nous a permis de parler rythme des surface, passage du ciel entre les bâtiments, écriture différentes entre le bâti et la végétation.... Petit à petit dans cette vue qui ne nous plaisait pas nous avons pu voir un sujet pictural.

En regardant les pochades de M. j’ai voulu lui faire découvrir le travail de Julius Bissier peintre mort en Suisse en 1965. Comment quelques tache venant du paysage, des objets devant nous peuvent animer notre papier.

Je n'ai pu trouvé les titres des aquarelles de Bissier.

   

Nous avons également partagé sur la difficulté de travailler face à un vaste panorama comme les paysages. Toute l’année travaillant en atelier nous avons des proportions dans l’oeil de petit format. Nous devons donc développer notre regard, lui apprendre à ressentir ces donnés fort différentes.

  

Ballade sur le Batobus
Juste prendre des notes, apprendre à voir, apprendre à choisir, éliminer

 

   

   

Étude de ciel

 

     

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