Modèle vivant - composition

Depuis la séance "Courbe - Droite" nous avons des discussions sur la composition des tableaux : comment intégrer des élément nouveaux dans un dessin déjà bien avancé, il y a la composition des lignes, des surfaces, des couleurs. 

 

Avec la gouache le papier réagit en se fripant, cela permet de créer un rythme de surface avec des contrastes de matière, lisse, gondolé..... et ainsi de composer sa peinture.

 

 

Nous avons discuté sur l'évolution de notre pensée tout au long de la réalisation de nos dessins et de nos peintures. Comment la composition nous permet d'avancer, nous voyons avec le modèle les poses de la séance, ainsi nous pouvons envisager la composition de notre dessin. Au fil de la séance des décisions, des ratés, vont faire évoluer cette idée de départ. Quel est la part d'improvisation, du maintient d'une décision,  d'habitude dans nos dessins, de désir, d'audace, d'utilisation de nos connaissances ? Dans quel mesure nous nous inscrivons dans l'histoire de l'art, à quelle période de la peinture ou de la sculpture nous nous référons ?

 

 

Quelle force

dans cette suite de surface colorée !!!

 

 

Travail de composition avec les éléments de décor autour du modèle.

 

 

 

 

 

Modèle dessiné pour la pose, 

 

 

 

 

 

 

Coup de coeur "le jardin de sculpture de Dhuys".

 Après avoir marcher pendant une petite heure le long de la Marne, nous avons découvert un espace couvert de sculptures. Quelle belle surprise ! Entre le soleil, le printemps ce fut un bonheur.

Ce sont les sculpture de Jacques Servières, un ancien instituteur. Réalisées dans des blocs de calcaire provenant d'un ancien aqueduc de la Dhuys. 

Vous trouverez tous les renseignements sur son site : http://jardindesculpture.net/

Voici trois sculptures trouvées sur internet, ne pouvant mettre mes propres photos sur mon ordinateur.

 

 

 

 

exposition peinture mexicaine au Louvre.

Le Louvre nous propose une exposition sur la peinture mexicaine. Petit bémol, une partie de l'exposition est située dans une salle souvent féremée par manque de personnel.

De nouveau un travail autour de la composition. Quelles lignes de composition choisissons nous pour donner le rythme du tableau. Cela nous permet-il de comprendre avec plus d'acuité le tableau ? Ce travail amène souvent une lecture abstraite des peintures que nous observons au louvre, et pour certains participants il est difficile de ne pas "dessiner" les éléments que nous aimons.

L'exposition étant située dans la salle de la peinture espagnole les participants ont travailler autant sur les tableaux méxicains qu'espagnols. et parfois sur des tableaux de la peinture anglaise dans la salle contigue.

 

Le Christ marchant sur les eaux  - Francis Danby. 

 

l'immaculée conception - Juan de Valles.

 

 

 

 

 

Le Christ en croix avec les donateurs - Le Greco.

 

 

 

 

La stigmatisation de St François 

Le Greco.

 

 

La fuite en Egypte - Juan rodriguez Juares.

 

 

 

 

la Vierge de l'Assomption - Miguel Cabrera.

 

 

 

 

 

La visitation - José Sanchez.

 

 

 

 

la lactation de St dominique - Cristobal de Villalpando.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Axe d’ouverture et de développement de la collection hispanique du Louvre, l’art mexicain s’invite dans  les salles du musée au printemps.

Une sélection d’une dizaine d’oeuvres présentera au milieu des peintures espagnoles le meilleur de cette école « cousine ». Du zurbaranisme monumental de José Juárez à la fougue baroque de Cristóbal Villalpando en passant par la suave douceur de Rodríguez Juárez, le visiteur découvrira le visage changeant de deux siècles de création du Nouveau Monde et appréciera ses rapports à la fois proches et indépendants avec l’art ibérique.

Peu connu en France, l’art d’Amérique latine est néanmoins représenté dans les collections publiques. Forte du travail de recensement de l’art hispanique entrepris par le Louvre et l’Institut national d’histoire de l’art (projet BAILA), la publication qui accompagne cet accrochage offre l’occasion de rappeler les oeuvres majeures de cette école dans le patrimoine national, d’en questionner les origines et d’en étudier la fortune.

Texte tiré du site du Louvre.

Jardin alpin

Ce matin du soleil !!! Nous avons donc choisi de dessiner dans le jardin alpin à coté du jardin botanique. 

L'ancêtre du jardin alpin fut créé en 1640, sous l'appellation « Jardin des Plantes de montagne ». Agrandi et embelli au cours du mandat de Buffon, pendant la seconde moitié du XVIIIe siècle, il ne prendra sa forme actuelle qu'à partir de 1931. Il est alors installé à l'emplacement du Carré des couches, auparavant consacré à la multiplication des plantes destinées aux collections systématiques de l'École de botanique. S'étendant sur plus 4000m², le jardin alpin réunit en un même lieu des collections de plantes issues de régions de haute, moyenne et basse altitude de France et du monde. Il abrite également quelques spécimens typiques de milieux spécifiques, comme les tourbières.
Ce qui ne va pas sans difficulté : comment faire cohabiter en plein air (parisien qui plus est !), des plantes originaires de régions méditerranéennes chaudes et sèches avec des plantes de montagnes au climat froid ? Texte provenant du site : http://www.jardindesplantes.net/un-jardin-botanique/le-jardin-alpin

Face un tel paysage il est difficile de choisir ce que l'on va dessiner. 

Il est possible de continuer un sujet commencer auparavant, par exemple "les iris, leur évolution du rhizome à la fleur fanée".

Il y a des plants d'iris dans le jardin alpin, ils sont tout petits.

 

 

 

 

 

Dessins réalisés hors de Paris et au Parc de Belleville.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une perspective dans une des toutes petites allées du jardin.

 

 

 

Face à ce fouillis que choisir ?

 

 

 

 

Photo prise à un autre moment aussi est-elle décalée par rapport au dessin.

Démarrage du dessin par les herbes blanches (posca pinceau), avec une valeur forte, qui par la suite m'a dérangé. A voir la semaine prochaine.

 

 

 

 

 

Modèle vivant

Cette semaine les élèves vont-ils tenir compte de la couleur de la peau du modèle pour leurs dessins, notre modèle vient de Guadeloupe, sa peau est foncée.

La couleur du papier a été choisi en fonction de la couleur de peau du modèle.

 

Utilisation de ligne de composition pour situer le portrait.

 

Utilisation de la couleur pour la composition.

 

 

Utilisation d'élèments du décor pour créer une dynamique de composition.

 

Rendu de la couleur de la peau.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comment l'introduction de quelques lignes change le dessin.

 

 

 

Rendu de la couleur de la peau.

 

 

 

 

 

Dans les serres 15 avril 2013

Aujourd'hui temps gris, peu de valeur face à cette masse de vert. Comment allons nous travailler ?

Contraste petit - grand. Choisir un endroit où l'on peut voir des petites surfaces en premier plan et de grandes surfaces en arrière plan.

 

 

 

 

 

 

 

 

Reprise du dessin de la semaine dernière