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Louvre - Page 13

  • Objets du moyen-âge, L'échiquier dit de "St Louis".

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    Pour cette séance, un sujet commun de regard : l'échiquier.

    Tout d'abord quelques photos.

    Louvre 14:02:12 échiquier - 1.jpg Louvre 14:02:12 échiquier - 2.jpg Louvre 14:02:12 échiquier - 3.jpg

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      Cet objet en cristal de roche, bois de cèdre, argent doré bronze me fascine. Précision du détail, finesse de la ciselure, délicatesse des contrastes, jeu de lumière musicale. En observant le damier, je vais de surprise en surprise, chaque carré est habité d'une petite fleur, et les pourtours du damier sont habités de petites saynètes.

    Sensation de voyager vers un monde ou le temps n'existe pas.

    Le carré forme fermée, monde où les pions se déplacent en marquant leur territoire, en montrant leur force. Le carré découpé en de multiples carrés, tout se joue, se déroule dans cet espace délimité.

    Les carrés sont là illimités créant la limite.

    Les pions rompent la répétition tout en étant dans la symétrie. 

    Voici les dessins.

     

    Louvre 14:02:12 Maud.jpg Louvre 14:02:12 M.A. .jpg

     

    Autour des anges 

     

    Louvre 14:02:12  ange-échiquier  .jpg Louvre 14:02:12 - ange.jpg Louvre 14:02:12 échiquier + ange.jpg

     

    Louvre 14:02:12 Monique - 1.jpgLouvre 14:02:12 Monique - 2.jpg Louvre 14:02:12 Muriel - 1.jpg

     

    Autour des animaux

    Louvre 14:02:12 Muriel - 3.jpg 

    Par ailleurs, nous avons travaillé sur le thème des matériaux.

    Le support en ronde-bosse, plat, bas-relief, haut-relief. 

     

    L.14:02:05 Hélène tesson de céramique.jpg L.14:02:05 Hélène - 2.jpg

    L.14:02:05 Hélène - 3.jpg L.14:02:05 Hélène - 1.jpg

     

    L.14:02:05 Laurence Plaque .jpg L.14:02:05 Laurence.jpg

     

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    L.14:02:05 Monique  - 2.jpg L.14:02:05 Monique  - 3.jpg

     

    La sculpture equestre de Charlemagne, bronze.

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    Je peux tourner autour, je pose mes pieds l'un après l'autre, il me permettent de découvrir la pièce, àl'avant, à l'arrière, sur les cotés. Le rythme des vides, des pleins, l'espace laisse l'air passé. La lumière joue sur la matière lisse du bronze dévoilant des ombres du relief. La sculpture entourée de vide est bien stable sur son socle.

    Triptyque "Déesis et saints" 

    L.14:02:05 Livre ivoire triptyque Déesis et saints - 1.jpg    L.14:02:05 Livre ivoire triptyque Déesis et saints - 2.jpg 

    Cet ivoire à la taille d'un livre, il suffit de fermer les deux panneaux pour le transporter sans aucune difficulté. Sur l'extérieur le relief est peu prononcé. Je voudrais le caresser afin d'en sentir le relief, les milles et unes nuances. La perception doit-être très différentes entre le toucher et la vue.

    La sculpture intérieure est plus accentuée, les têtes des personages ressortent sur le fond. 

    L'objet rectangulaire, inscrit l'histoire dans son format, les personnages ne peuvent s'en échapper, d'autant que le rectancle de départ est lui même compartimenté.

    Le cadre, ses limites, ses angles accentuent la sensation de droite nous avons quitté la rondeur de la sculpture de Charlemagne.

    Céramique de Florence 

    L.14:02:05 céramique %22Bassin flornce.jpg

    La céramique la forme de l'objet est souvent déterminée par sa fonction. celle que j'ai choisie est un à fond plat.

    Le sujet est inscrit dans un espace sans profondeur, le graphisme est aussi plat que la céramique, il crée une vibration qui habite tout l'espace. Le pinceau permet un geste souple qui donne le mouvement de la scène.

    Le triomphe de Vénus

    L.14:02:05 Peinture : le triomphe de vénus.jpg

     

    J'imagine le temps passé par l'artiste, faisant glisser son pinceau sur le panneau de bois, devant attendre que la première couche sèche avant de poursuivre son sujet. L'image s'intègre au format.

     

    La tapisserie "L'offrande du coeur".

    L.14:02:05 Tapisserie L'offrande du coeur .jpg

    D'un fil à l'autre, la navette passe. Que de contrainte pour obtenir le dessin préparé sur le carton.

    La tapisserie terminée il suffit de la rouler pour la transporter. 

     

     

     

     

  • Objets du Moyen Age

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     Un même thème avec des tailles, des matériaux différents voilà le thème de cette séance. 

    Le vitrail.

    Vitrail Muriel.jpeg  Louvre 14:01:29 Muriel -vitrail.jpg

    La lumière vient vers nous contrairement à de nombreux autres matériaux. la perception des clairs et des foncés est donc fort différentes. Contrairement aux vitraux présentés dans les églises ceux-ci sont à la hauteur de nos yeux, nous pouvons donc en lire aisément l'image et en apprécié les détails. 

    Finesse de la grisaille, en contraste avec le graphisme des plombs.

    Importance des plombs qui partagent les surfaces de couleur, Les lignes noires créent un rythme de forme. 

    L'image est morcelée, sa lecture en est compliquée, à nous de découvrir sa signification. Les anciens connaissaient par transmission orale le sens de ces représentations. Il suffisait de reconnaître une partie de l'image pour en connaître l'histoire. 

    Les personnages sont mis dans un espace n'indiquant aucun lieu, la force des surfaces et de leur couleur supprime tout sensation de volume et de profondeur ce qui est renforcé par les formes décoratives qui entourent l'illustration. L'image est plate, sans relief. 

    La couleur des vitraux est ample, forte, pleine.

     

    Ivoire, bas relief ou statuette.

    Bas relief ivoire.jpgStatuette ivoire 1.jpeg

    Une de mes pièces préférées de tout cet ensemble du moyen âge.

    Groupe de personnages dont la Synagogue.jpeg 

    Comment la technique influence le travail de l'artiste.

    Le format des bas-reliefs en ivoire sont souvent de petite taille. L'artiste doit ce plié à ce format, dans ces deux croquis, la partie rouge correspond au personnage principal qui semble coincé dans l'espace qui lui est imparti.

    Louvre 14:01:29 Maud - 1.jpg

    La forme des défenses d'éléphant impose une courbe très particulière au sculpture que les artisans du moyen âge ont su exploité.

    Louvre 14:01:29 Maud - statuette ivoire 1.jpgLouvre 14:01:29 Maud - statuette ivoire.jpg

     

    Petite sculpture dont les plis ont inspiré ce croquis. 

    Statuette ivoire Muriel.jpegLouvre 14:01:29 Muriel - 3.jpg

     

    Les stries de certains ivoires ont inspiré ces croquis.

    Louvre 14:01:29 Hélène - 2.jpgLouvre 14:01:29 Hélène - 1.jpg 

    L'ivoire est matériel dur, donc difficile à sculpter. La finesse de la ciselure est impressionnante. L'ivoire prend la lumière qui met en valeur la taille de l'ivoire, les ombres permettent la douceur avec les nuances de gris. Il y a ambivalence entre la froideur et la dureté du matériau et la douceur de la sculpture.

    Les statuettes présentent le volume, parfois recherché dans les bas-reliefs, et souvent absent dans la tapisserie, le vitrail, les émaux de cette époque. Avant la Renaissance sur les supports plats, l'artiste donne priorité au support plutôt qu'au réalisme.

     

    Objets usuels, métal, pierre.

    Objets en matériaux durs. La forme a primé sur le matériaux pour la réalisation des croquis. 

    L.14:01:27 Monique Bis..jpg

     

    3 objets Monique.jpeg Objet Monique.jpeg

     

    Ecritures différentes pour des matériaux différents.

    Louvre 14:01:29 Françoise - 1.jpg Louvre 14:01:29 Françoise - 2.jpg Louvre 14:01:29 Françoise - 3.jpg 

    Louvre 14:01:29 Muriel - 1.jpg Louvre 14:01:29 Maud - Métal.jpg

     

    Mosaïque

    mosaique.jpg

    Nous retrouvons l'ambiance des mosaïques romaines (pour la technique) et Byzantines (technique et iconographique).

    Les tesselles minuscules donnent à voir la patience demandée pour la réalisation de ces mosaïques. Rythme des traits donnant la forme, contraste des couleurs, des valeurs.

    Tapisseries

     tapisserie.jpg

     

    Ce matériaux plat, lourd, se détache du mur ce qui nous montre sa souplesse. Le tissage nous donne à voir un matériaux avec une certaine rugosité, envie de toucher, de ressentir cette matière sous les doigts. Les couleurs passées leur donnent un aspect suranné.

    Email Champlevé sur cuivre doré.

    émail champlevé volume.jpg émail champlevé.jpg

    Cuivre gravé où l'on creuse des cavités afin de déposer l'émail en poudre qui sera vitrifié après cuisson. Rigidité du matériau contraste entre les traits et les surfaces, entre le relief et le plat, l'émail et le métal. Finesse du dessin qui circule comme un fil sur la surface. Circulation et séparation. 

  • Raoul Dufy, la fée electricité

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    Jeudi nous avions rendez-vous au musée d'art moderne de la ville de Paris pour découvrir la peinture de Raoul Dufy "la Fée Electricité".

    Les participants n'ayant pas de carnet de croquis, nous n'avons pas dessiné comme d'habitude. Nous avons partagé sur ce que nous découvrions au fil du temps.

    MAM, raoul dufy, la fée electricité, cours de dessin, Paris

    Pour commencer nous avons regardé le rythme des lignes de composition de la partie gauche de la peinture, ses lignes obliques, ses accents de noir avec les cravates, les noeuds papillons.

    Ensuite nous avons observé la partie droite avec ses horizontales, ses sinueuses. L'audace de sa tache rouge qui dynamise la surface.

    Nous nous sommes arrêté les thèmes travaillés, les savants avec des portraits réalistes pour les hommes de son époque, des portraits vivants pour les anciens, Dufy ayant commencé avec les grecs.

     

    MAM, raoul dufy, la fée electricité, cours de dessin, Paris

     

    L'inclusion du thème de l'électricité dans les paysages. Plus nous regardions cette peinture plus nous réalisions le travail colossal de documentation, de préparation, d'esquisses. 

    Le travail de croquis m'a manqué, le dessin permet de rentrer dans une oeuvre plus par la sensation, qu'avec notre intelligence. l'oeuvre ce dévoile petit à petit au fil du crayon.

     

    Article tiré du site de MAM 

     

    Comme Léger, Delaunay et beaucoup d’autres artistes, Dufy reçut pour l’exposition de 1937 la commande de décorations monumentales, notamment celle du mur concave du hall du Palais de la Lumière et de l’Electricité, édifié par Mallet Stevens sur le Champs-de-Mars. Il se plie au programme du commanditaire, la Compagnie parisienne de Distribution d’Electricité, pour raconter La Fée Electricité à partir du Rerum natura de Lucrèce. Dans cette composition de 10 mètres sur 60, se déploie de droite à gauche, sur deux registres principaux, l’histoire de l’électricité et de ses applications, depuis les premières observations jusqu’aux réalisations techniques les plus modernes. Dans la partie supérieure se déploie un paysage changeant où, sont disséminés les thèmes favoris du peintre : voiliers, nuées d’oiseaux, batteuse, bal du 14 juillet. Le long du registre inférieur sont disposés les portraits de 110 savants et inventeurs ayant contribué au développement de l’électricité.
    Mêlant la mythologie et les allégories à l’exactitude historique et à la description technologique, Dufy joue sur l’opposition des contraires. Au centre les dieux de l’Olympe et les générateurs de la centrale électrique reliés par la foudre de Zeus ; la nature primordiale et les architectures ; les travaux et les jours et les machines modernes. Formellement aussi, les registres de couleurs chaudes s’opposent aux froides, avec les dominantes chromatiques nettement différenciées selon les zones. Ce double cheminement narratif se résout en apothéose, avec l’envol d’Iris messagère des dieux, fille d’Electra qui vole dans la lumière, au dessus d’un orchestre et des capitales du Monde diffusant toutes les teintes du prisme.

    La méthode utilisée par Dufy permit une grande rapidité d’exécution (10 mois depuis la conception à la réalisation) grâce à un médium mis au point par le chimiste Jacques Maroger qui permettait de retirer aux pigments leur opacité et de retrouver «  les secrets perdus de la peinture à l’huile des anciens, leurs couleurs brillantes, ductiles, transparentes ». En réalité, ce fa presto dissimule un grand travail à partir d’études préparatoires sur des modèles peints nus puis en costumes, de dessins reportés au calque pour trouver la disposition des groupes puis projetés grandeur nature sur les panneaux à l’aide d’une lanterne magique.
    Donnée par l’Electricité de France, cette décoration monumentale fut installée au musée en 1964.

    Article tiré de Wikipédia

    « Mettre en valeur le rôle de l'électricité dans la vie nationale et dégager notamment le rôle social de premier plan joué par la lumière électrique », tel était l'objectif de la commande passée à Dufy par la Compagnie parisienne de distribution d'électricité pour être montrée au Pavillon de l'Électricité à l'Exposition Universelle de 1937. 

     

    Aidé de son frère et de deux autres assistants, Raoul Dufy réalise, dans un hangar mis à sa disposition de la Centrale électrique de Saint-Ouen, une peinture aux dimensions monumentales, commencée en avril 1936 et achevée un an plus tard. Le tableau est formé de 250 panneaux en contreplaqué indéformable parqueté sur bois et cintré (afin d'épouser la courbure de la charpente métallique du Pavillon de l'Électricité), mesurant chacun 2 m de hauteur sur 1,20 m de largeur. Il utilise une peinture à l'huile très légère, conçue par le chimiste Jacques Maroger, donnant une illusion de gouache et séchant très rapidement. Les personnages sont dessinés à l'encre de chine, puis les couleurs sont portées par dessus. 

    Les deux-tiers du temps prévu pour l'exécution de la Fée Électricité ont été consacrés à la documentation sur les hommes et les machines.

    Les personnages, une centaine, sont répartis en deux foules de savants, d'Aristote à Pierre Curie, dont les travaux sont associés à l'essor de l'électricité.

     

    MAM, raoul dufy, la fée electricité, cours de dessin, Paris

     

    Le motif central représente les Dieux de l'Olympe trônant au-dessus de l'ultra-moderne centrale électrique de Vitry sur Seine, dont Raoul Dufy avait rapporté de nombreux documents. Le registre supérieur se déroule à la façon d'un panorama (se lisant de droite à gauche). On peut y voir de nombreuses scènes de moisson, de navigation, d'industrie...et de pèche.

     

    MAM, raoul dufy, la fée electricité, cours de dessin, Paris

     

     

     

     

  • Exposition Robert Wilson

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    Nous avons découvert l'exposition "Living rooms", au Louvre, mercredi. Ce fut une belle surprise. Bien qu'incongru dans ce lieu cette accumulation bien ordonnée d'oeuvres venant du monde entier nous a enchantée.

    Louvre 14:01:22 expo Wilson étagère - 01.jpg exposition Robert Wilson, cours de dessin, Louvre,  exposition Robert Wilson, cours de dessin, Louvre,

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    Voici quelques photos de pièces qui m'ont raconté une histoire.

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    Nous nous sommes promenés dans l'exposition, chacun choisissant les oeuvres qui nous ont émus. J'ai été surprise par l'organisation symétrique des étagères.

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    exposition Robert Wilson, cours de dessin, Louvre,

     

     

     

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    Jeux d'ombre

     

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    Similitudes entre pièces contemporaines et pièces traditionnelles.

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    Texte venant du site du Louvre

    Pour son intervention au Louvre, Robert Wilson a choisi le titre « Living Rooms », car il transpose au coeur du musée le lieu où il vit, travaille, conserve et partage avec artistes et public sa collection personnelle au Centre Watermill aux États-Unis.

    En investissant un ancien bâtiment de la Western Union, près de New York, Robert Wilson a conçu un lieu qui lui ressemble pour conserver sa collection d’art, ses archives et expérimenter sans contrainte, en invitant de jeunes artistes en résidence. Les éléments qui constituent « The Watermill Collection » sont fascinants par leur rôle dans son processus créateur. Les oeuvres d’art océaniennes y côtoient les céramiques chinoises archaïques, les photographies contemporaines, les chaises de toutes époques et les objets trouvés. Toutes ces choses, très hétéroclites et très hétérogènes en qualité semblent la matière première, brute, que l’artiste distille ensuite. Dans l’esprit des collections surréaliste, et plus particulièrement d’André Breton, cet assemblage nous parle moins des objets que du regard de l’artiste qui les a choisis et  associés.

    Conçue par Robert Wilson, la scénographie de l’exposition évoquera la manière dont ces oeuvres l’entourent dans sa vie quotidienne et sont une source permanente d’inspiration.

    Commissaire(s) :

    Robert Wilson et Philippe Malgouyres, conservateur au département des Objets d’art du musée du Louvre.
    Avec la participation de Noah Khoshbin, conservateur de The Watermill Collection.
    Production exécutive Change Performing Arts.

    Biographie de Robert Wilson : cliquez ici

     

  • La peinture flamande XVe.

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    Nouvel accrochage dans les salles de la peinture flamande du XVe.     Cela permet de voir les peintures avec un oeil neuf.

    Travail sur les thèmes :

    Le sujet jusqu'au bout du cadre. 

    Les aplats  vides ou habités.

    Dirck Bouts la déploration du Christ 

    P. La déploration du Christ Dirck Bouts.jpeg L. 13:11:20  la déploration du Christ Muriel  - 2.jpg L. 13:11:27 Maud  - 1 la déploration du christ.jpg L. 13:11:20  La déploration du Christ Maud  - 2.jpg

    Entourage de Petrus Christus Pieta

     

    P. Pieta entourage Petrus Christus.jpeg  L. 13:11:20  Muriel  - 3.jpg

     

    Hans Memling Portrait de femme agée

    P. Hans Memling, Portrait de vieille femme.jpg  L. 13:11:20  Muriel  - 5.jpg  L. 13:11:27 Hélène  - 1 portrait de femme agée.jpg  L. 13:11:27 Monique portrait de femme agée .jpg

    Gerard David. Le tryptique de la famille Sedano 

    Travail sur le panneau de gauche

    P Hans Memling tryptique de la résurection.jpeg  L. 13:11:20  Hans Memling - Françoise 1.jpg L. 13:11:20  Hans Memling Maud  - 4.jpg L. 13:11:20  Muriel  - 1.jpg

    Atelier de Rogier van der Weyden, l'Annonciation

     

    P. Gerard de st jean resurection de lazare.jpg L. 13:11:20  Maud  - 3.jpg P. annonciation atelier de Rogier van der Weyden.jpg L. 13:11:27 Françoise Annonciation  .jpg

     

     Ian Provost  Emerencie mère de St Anne

    et Ludger Tom Rong La sibylle delphique

    P. Emerencie mère de St Anne Ian Provost.jpegL. 13:11:27 Hélène  - 2 Emenrencie .jpg      P. Ludger Tom Rong La sibylle delphique.jpegL. 13:11:20  Muriel  - 4.jpg

    Le Maître du feuillage en broderie la Vierge et l'enfant entourés d'anges

    Louvre, peinture flamande, peinture de la renaissance, corus de dessin  Louvre, peinture flamande, peinture de la renaissance, corus de dessin  Louvre, peinture flamande, peinture de la renaissance, corus de dessin

  • Polyptyque de Monique Frydman

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    Monique Frydman Louvre.jpeg Monique Frydman bleu.jpeg Monique frydman vert.jpeg

    Face au travail de Monique Frydman j'ai choisi comme thème de travail  le rythme des lignes dans les tableaux de la peinture italienne du XIIIe - XVe. 

    5 maîtres de la Renaissance

     

    Photo 5 maitres de la Renaissance Florence Fin XVè début XVIè.jpg Peinture italienne, cours de dessin, Louvre, exposition Monique frydman

     

    Peinture italienne, cours de dessin, Louvre, exposition Monique frydman Peinture italienne, cours de dessin, Louvre, exposition Monique frydman

    L'adoration des Mages de Giovani de Franco 

    Peinture italienne, cours de dessin, Louvre, exposition Monique frydmanPeinture italienne, cours de dessin, Louvre, exposition Monique frydman

    La bataille de San Romano  Ucello

     

     

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    Stigmatisation de St François de Giotto

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    Couronnement de la Vierge de Fra Angelico

     

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    Scènes de la vie de Virginie de Fillipino Lippi

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    Texte tiré du site www.louvre.fr

    En écho à l’exposition « Le printemps de la Renaissance. La sculpture et les arts à Florence, 1400-1460 », l’artiste contemporain Monique Frydman présente une oeuvre monumentale dans le salon Carré.

    Cette nouvelle production s’inspire de l’une des plus importantes commandes du Quattrocento, le Polyptyque de Borgo Sansepolcro (1437-1444) du peintre siennois Stefano di Giovanni, dit Sassetta (1400-1450). En 1437, il avait été invité par les frères du couvent San Francesco de Borgo Sansepolcro à réaliser un immense polyptyque à deux faces, véritable chef-d’oeuvre destiné à prendre place sur le maître-autel. De ce retable démembré dès la fin du XVIe siècle, le musée du Louvre conserve trois panneaux du registre principal de la face antérieure (dont deux montrés actuellement) et deux panneaux de la prédelle postérieure (aile Denon, salle 4).

    Monique Frydman, qui dès la fin des années soixante-dix conduit une recherche picturale strictement abstraite, reprend la structure de ce polyptyque double face, en s’attachant à retranscrire la poétique, la volupté de ses tonalités. « La trouée du temps est là, dit Monique Frydman s’exprimant sur le polyptyque. Ce qui est perdu, démembré, relance le temps et dans cet effacement ne subsiste que le manque dont notre mémoire et notre regard restituent la présence. » L’artiste poursuit au travers de cette nouvelle réalisation un travail sur la spatialité picturale et sur la présence, initié dans sa récente série des Witness.

    Commissaire(s) :

    Pauline Guélaud